Extrait de l’article de Cyrille Auber paru dans le quotidien Sud-Ouest du vendredi 3 septembre 2021.
L’accueil des élèves à partir de la très petite section de maternelle s’est déroulé sous protocole sanitaire. La mairie vient d’investir plus de 130 000 euros pour cette rentrée.
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Le directeur de l’école primaire Vallaeys, Stéphane Grillet, se montrait optimise à l’arrivée des classes. « Les effectifs n’ont pas trop changé, avec un tiers de professeurs renouvelés. Nous accueillons une classe Ulis. » Dans la circonscription du Blayais, l’inspecteur de l’Éducation nationale, Christophe Guillerot, souligne : « Sur les 58 écoles du Blayais, avec des effectifs en légère augmentation, nous sommes sur huit ouvertures de classes et trois fermetures. C’est une rentrée sereine avec des effectifs par classe très agréables. »
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Répondre aux demandes
Pour cette rentrée, les écoles de Vallaeys, Grosperrin et Rosa-Bonheur (212 élèves) ont eu droit à des travaux de retouche, sol, toiture, éclairage et mobilier. En présence du maire, Denis Baldès, l’adjointe, Béatrice Sarraute, a rappelé les engagements de la Ville : « Mon rôle, au travers du conseil municipal, est de faire le lien entre les écoles dont nous avons la charge. Des moyens financiers sont donnés aux enseignants. Cette année, de nouveaux jeux de cour ont été installés à Grosperrin et Rosa-Bonheur (pour un montant de 34 000 euros). » La ville a par ailleurs été retenue par l’Éducation nationale pour son projet numérique à Rosa-Bonheur (17 700 euros). L’ensemble des travaux pour les trois établissements se portent cette année à 132 479 euros avec des subventions.
Éviter les débordements
La classe très petite section (TPS) de Blaye, en plus de Saint-Savin et désormais Gauriac, accueille depuis quelques années les enfants dès deux ans. C’est une disposition tournée vers certains enfants prioritaires, souligne Christophe Guillerot. […]
Pour l’instant, 15 enfants sont accueillis à Blaye, mais « l’objectif est de stabiliser nos élèves dès le plus jeune âge », ajoute-t-il. L’autre mesure lancée au printemps dernier et reconduite par la ville concerne l’attitude des élèves en intercours ou dans le périscolaire. Béatrice Sarraute explique : « C’est un règlement qui identifie tout débordement et qui nous permettrait de soulever du harcèlement. Un courrier sera envoyé aux parents pour expliquer la sanction prévue, qui va jusqu’à exclure l’enfant des services périscolaires. »
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